Que veut faire cette femme avec ces branches et ces souches d'arbres récupérées sur les plages ?
Est-ce en prévision du prochain hiver ?
Il y a mieux comme bois de chauffage, celui-ci est trempé, et encore tout couvert d'algues !
Mais alors à quoi peut-il servir ?
Vous aurez la réponse vendredi, et vous verrez c'est assez surprenant !
Je vous laisse sur votre faim pour aujourd'hui, et, tout en vous souhaitant une très bonne journée, je vous dis donc à demain pour un nouveau jeu !
J'aime beaucoup toutes ses chansons, mais j'ai découvert
récemment que cette femme possède un autre talent !
A voir dans le diaporama ci-dessous !
(temps entre chaque photo : 8 secondes)
Quelques coups de crayon . . .
qui changent tout . . . !
"Coucher de soleil sur l'Adriatique"
de
Joachim-Raphaël Boronali.
Cette toile est exposée au salon des Indépendants de 1910.
Les critiques d'art s'intéressent à ce tableau, qui fait l'objet de commentaires contrastés, jusqu'au jour où le journal Le Matin reçoit la visite de l'écrivain Roland Dorgelès qui révèle, constat d'huissier à l'appui, que l'auteur se nomme en fait « Lolo », et qu'il est l'âne de Frédéric Gérard dit « Le père Frédé », patron du Lapin Agile, célèbre cabaret de la butte Montmartre. En effet, « Boronali » n'est autre que l'anagramme d'Aliboron, le nom donné à l'âne par Jean de La Fontaine dans ses fables.
Devant un huissier, Dorgelès et deux de ses amis avaient attaché un pinceau à la queue de l'âne. Le père Frédé présentait à l'animal des carottes, du tabac, pour que l'âne, en remuant sa queue, réalise ce tableau qui connut un immense succès !
La toile se vendit 20 louis d'or (environ 1500 euro actuels), qui furent reversés par Dorgelès à l'orphelinat des Arts. Elle fait aujourd'hui partie de la collection permanente exposée à l'espace culturel Paul Bedu à Milly-la-Forêt.
Les artistes savaient rire à cette époque !
HI HAN ! HI HAN !